Site icon Le blog high-tech & telecom de Xavier Studer

Internet: plus de 30’000 demandes pour décrocher un «.swiss»!

Le «.swiss» brille au sommet.

Le «.swiss» brille au sommet.

Le «.swiss» brille au sommet.
Le «.swiss» brille au sommet.

Le symbole de la suissitude sur la toile cartonne! Le seuil des 30’000 demandes pour une adresse en «.swiss» vient d’être franchi. Depuis son lancement, l’intérêt pour cette nouvelle identité numérique de la Suisse n’a pas fléchi, indique l’OFCOM dans une lettre d’information.

En guise de comparaison, rappelons qu’au cours du mois de janvier, l’Office fédéral de la communication (OFCOM) ne comptabilisait qu’un peu plus de 11’000 demandes. En quelques semaines, ce nouveau label de la Suisse connectée n’a donc pas cessé de marquer des points.

Longue campagne

Il faut dire que l’OFCOM mène une campagne d’information intense, originale et sympathique depuis de longs mois. Après avoir joué avec le feu à la fin de l’été dernier, l’Office fédéral sis à Bienne est parvenu à valoriser la nouvelle extension internet en utilisant un des symboles les plus majestueux de la Suisse: les cimes enneigées…

L’artiste britannique Simon Beck a réalisé un chef-d’œuvre en jouant avec l’or blanc. A Zermatt, avec le majestueux Cervin en toile de fond, il a dessiné en plus de 30’000 pas une éphémère extension dans la neige immaculée. Sur une surface d’environ 10’000 m2, le «. swiss» a brillé au cœur du monde alpin suisse, le temps de prendre quelques clichés historiques, dont ceux reproduits ici.

Valeurs suisses

«Quand je pense à la Suisse, je pense naturellement à ses montagnes et à la neige en premier, puis aux valeurs typiquement suisses telles que la qualité, la fiabilité et la précision», a déclaré l’artiste pour expliquer l’idée à l’origine de son œuvre.

Pour mémoire, les entreprises suisses inscrites au registre du commerce ainsi que les organisations, les associations et les fondations peuvent demander un nom avec ce domaine. Elles doivent notamment prouver qu’elles disposent d’un siège social et d’un réel site administratif en Suisse.

Xavier Studer

Le «.swiss» brille au sommet.
Quitter la version mobile